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- Présidentielle 2014
- 18/11/2014 à 14:53
Hamma Hammami : Nous n’avons pas regretté d’avoir revendiqué une ANC

Hamma Hammami, candidat à la présidentielle, a été l’invité de Zouhaer Eljiss dans Politica du mardi 18 novembre 2014.
Revenant sur les revendications de son parti après la révolution, Hamma Hammami a indiqué ne pas avoir regretté d’avoir revendiqué une assemblée nationale constituante.
« Les négociations et discussions qui ont eu lieu au sein de l’ANC ont poussé les tunisiens à défendre leurs droits », a-t-il signalé.
Poursuivant dans le même contexte, Hamma Hammami a rappelé qu’il est l’un des rares militants à ne pas avoir quitté la Tunisie lors du régime de Ben Ali.
« Je me suis longtemps demandé pourquoi les politiciens tunisien qui ont fuit leur pays ont choisi le Londres ou la France au lieu d’un pays musulmans, pour revenir par la suite prétendre mon athéisme et se positionner comme défendeurs de la religion », a-t-il ajouté.
« Aujourd’hui on doit penser aux problèmes des tunisiens (la pauvreté, la santé, l’enseignement…) au lieu d’exploiter l’islam à des fins politiques », a-t-il indiqué, ajoutant que « le citoyen ne doit pas être le seul à subir les dommages de cette politique économique. Elle doit être révisée ».
Il s’est, dans ce sens, appuyé sur l’exemple des petit agriculteurs, dans la dette devrait être, selon lui, annulée.
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Poursuivant dans le même contexte, Hamma Hammami a rappelé qu’il est l’un des rares militants à ne pas avoir quitté la Tunisie lors du régime de Ben Ali.
« Je me suis longtemps demandé pourquoi les politiciens tunisien qui ont fuit leur pays ont choisi le Londres ou la France au lieu d’un pays musulmans, pour revenir par la suite prétendre mon athéisme et se positionner comme défendeurs de la religion », a-t-il ajouté.
« Aujourd’hui on doit penser aux problèmes des tunisiens (la pauvreté, la santé, l’enseignement…) au lieu d’exploiter l’islam à des fins politiques », a-t-il indiqué, ajoutant que « le citoyen ne doit pas être le seul à subir les dommages de cette politique économique. Elle doit être révisée ».
Il s’est, dans ce sens, appuyé sur l’exemple des petit agriculteurs, dans la dette devrait être, selon lui, annulée.
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