Il a par ailleurs fustigé le niveau intellectuel relativement "bas" de certains députés à l'ANC, ce qui risque, selon lui, de nuire à la réputation de la Tunisie. M. Sidaoui a aussi indiqué que le maintien de l'ANC constitue un danger pour la démocratie en Tunisie.
Selon lui, l'hémicycle a perdu toute légitimité électorale depuis octobre 2012 et n'a aucun lieu d'être après le vote de confiance au gouvernement de Mehdi Jomaa et l'adoption de la Constitution.
Riadh Sidaoui estime, en outre, que le gouvernement de Mehdi Jomaa se trouve face à un vrai défi : l'organisation des élections présidentielles et législatives en un temps record afin de stopper l'hémorragie de l'économie tunisienne.