- Actualité
- Hi-tech et sciences
- 04/12/2017 à 13:13
Startup Story : L’offshoring, ou comment faire du business à l’étranger tout en restant en Tunisie
Dans le dernier épisode de Startup Story by IntilaQ, nous avons invité Badreddine Ouali, président de Smart Tunisia et Chairman du groupe Tunisien à l’international Vermeg.
Il a indiqué que la Tunisie compte 600.000 chômeurs dont 200.000 titulaires de diplômes de l’enseignement supérieur. “Créer de l’emploi pour les jeunes récemment diplômés nécessite un taux de croissance de 8 à 9%. Pour faire travailler la totalité des chômeurs, il faut entre 15 et 25% de taux de croissance. Or, en Tunisie le taux de croissance n’est que de 2%. La solution était donc de ramener des investisseurs pour faire travailler les compétences dont nous disposons et profiter ainsi des croissances des économies étrangères”, a déclaré Badreddine Ouali.
Concernant le rôle de Smart Tunisia, Badreddine Ouali a précisé que la mission consiste à véhiculer une image de la Tunisie autre que celle d’une destination touristique. “Nous disposons certes de belles plages, mais nous avons aussi des universités et des compétences très recherchées. L’objectif aujourd’hui est d’expliquer aux investisseurs, surtout ceux qui veulent conquérir l’Afrique, que la Tunisie est un passage nécessaire de par le fait que nous sommes ouvert au monde, aux autres cultures et que nous maitrisons plusieurs langues”, a-t-il souligné.
Pour la Startup de la semaine by IntilaQ, nous avons invité Farah Ezzedine, Marketing Manager chez «Simple Expert». Pour présenter la société, elle a expliqué que Simple Expert répond à deux problématiques : la première concerne la budgétisation d’un projet de développement de site internet ou d’une application mobile et la deuxième, le prestataire de service.
Pour écouter l’interview au complet :
Les Dernières Vidéos
Les Dernières Actualités